Pour lutter contre les changements climatiques, les ASC doivent participer activement en misant sur le reboisement. C'est dans cette dynamique que le lieutenant colonel Moussa Dieme déclare que " ce que nous pouvons recommander aux ASC en ces périodes de navetanes, c'est faire du reboisement. C'est la période propice, on est en hivernage, on aura pas besoin d'arroser tout de suite, peut-être l'entretien se fera après l'hivernage. Donc avec le peu de moyens qu'ils disposent, il faut essayer de voir où est ce qu'ils peuvent mettre les plantations. Mais pas planter pour planter, planter pour réussir. C'est pourquoi nous avons visé en premier les écoles. Nous avons déjà reçu 2 ASC qui nous ont parlé d'école. Si indépendamment les ASC ont les possibilités de faire les reboisements au niveau des forêts qui sont plus proches, c'est un plus" a déclaré Moussa Dieme 

Pour lutter contre les changements climatiques, les ASC doivent participer activement aux actions de reboisement. A en croire  le lieutenant colonel Moussa Dieme " ce que nous pouvons recommander aux ASC en ces périodes de navetanes, c'est de faire du reboisement. C'est la période propice, on est en hivernage, on aura pas besoin d'arroser tout de suite, peut-être l'entretien se fera après l'hivernage. Donc avec le peu de moyens qu'ellse disposent, il faut essayer de voir où est ce qu'ielles peuvent mettre les plantations. Mais pas planter pour planter, planter pour réussir. C'est pourquoi nous avons visé en premier les écoles. Nous avons déjà reçu 2 ASC qui nous ont parlé d'école. Si indépendamment les ASC ont les possibilités de faire les reboisements au niveau des forêts qui sont plus proches, c'est un plus" a déclaré Moussa Dieme 

Les chefs de service, les ONG et la société civile ont pris part à cet atelier de validation de deux jours. C'est dans cette dynamique que le conseiller des financements de crise au niveau du réseau START Network basé au Sénégal Elhadji Ousmane Lô déclare que " cet atelier est dans le cadre de mettre à jour un plan de contingence opérationnel qui permet à la région de faire face aux différents risques. Au niveau de la région de kolda, il ya pas mal de risques. Mais on a essayé d'identifier les risques les plus prioritaires. Par exemple on prend la sécheresse, les feux de brousse et les inondations. Ce sont les risques que la région fait  face d'où l'objectif de faire une réflexion de mise à jour d'un plan de contingence qu'on a élaboré l'année dernière" a déclaré Elhadji Ousmane Lô 

Chaque jour à kolda, les 'tapa lapa' pillulent les coins et les artères de la ville de kolda. Face à cette situation, les boulangers de kolda expriment leur amertume. C'est dans cette dynamique que le Secrétaire général des boulangers du Fouladou et gérant de la boulangerie les Délices du Fouladou déclare que " le gouvernement avant de réduire les prix, nous avait parlé et assis autour d'une table, on a essayé de discuter pour voir les moyens de pouvoir baisser le prix du pain, nous avons fait les simulations même si nous n'avons pas eu satisfaction totale, quand même on s'est sacrifié, on a voulu les accompagner dans ça. C'est vrai c'est un peu compliqué avec l'augmentation des intrants du prix du pain. C'est une mesure sociale, on a procédé de façon inhabituelle. On a fixé les prix avant que le conseil s'asseye. L'une des difficultés, c'est que le pain est homologué alors que les intrants du pain ne sont pas homologués. L'autre des difficultés, c'est la concurrence des ' tapa lapa'. Nous sommes une industrie, on a des charges, eux ils échappent à ça. La législation même interdit la vente des tapa lapa' dans les villes à plus de 10000 habitants " a déclaré Lamine Tall.

Chaque jour à kolda, les 'tapa lapa' pillulent les coins et les artères de la ville de Kolda. Face à cette situation, les boulangers de Kolda expriment leur amertume. C'est dans cette dynamique que le Secrétaire général des boulangers du Fouladou et gérant de la boulangerie les Délices du Fouladou déclare que " le gouvernement avant de réduire les prix, nous avait parlé et assis autour d'une table, on a essayé de discuter pour voir les moyens de pouvoir baisser le prix du pain, nous avons fait les simulations même si nous n'avons pas eu satisfaction totale, quand même on s'est sacrifié, on a voulu les accompagner dans ça. C'est vrai c'est un peu compliqué avec l'augmentation des intrants du prix du pain. C'est une mesure sociale, on a procédé de façon inhabituelle. On a fixé les prix avant que le conseil s'asseye. L'une des difficultés, c'est que le pain est homologué alors que les intrants du pain ne sont pas homologués. L'autre des difficultés, c'est la concurrence des ' tapa lapa'. Nous sommes une industrie, on a des charges, eux ils échappent à ça. La législation même interdit la vente des tapa lapa' dans les villes à plus de 10000 habitants " a déclaré Lamine Tall. 
Moustapha Guirassy

Le Directeur Général de Petrosen T&S, Manar Sall, a confirmé que les dates de démarrage de l’exploitation du gaz et du pétrole au Sénégal sont maintenues. Le premier mètre cube de gaz est prévu pour la fin de l’année 2024, tandis que la production de pétrole est attendue au cours du premier semestre de cette année.

Manar Sall a souligné l’importance de la valorisation qui accompagne l’exploitation de ces ressources. Selon lui, « on est toujours dans les temps » et le projet permettra de valoriser le gaz au niveau local, ce qui est crucial pour l’industrialisation et la création de contenu local. Cette valorisation inclut notamment la construction d’une usine qui générera des milliers d’emplois, un avantage significatif pour le Sénégal.

Selon le DG Sall, l’entrée dans l’ère pétrolière et gazière est vue comme une opportunité majeure, non seulement pour les revenus potentiels tirés de la vente de ces ressources naturelles, mais aussi pour les avantages économiques plus larges qu’elle apportera au pays.

Senego

 

" width="200" align="left"> Le Directeur Général de Petrosen T&S, Manar Sall, a confirmé que les dates de démarrage de l’exploitation du gaz et du pétrole au Sénégal sont maintenues. Le premier mètre cube de gaz est prévu pour la fin de l&...

Poursuivre...

Atelier de lancement des études de vulnérabilité dans la zone de Kolda pour l'appui au processus d'élaboration du Plan National d'Adaptation du Secteur de l'Agriculture. Cet atelier vise à sensibiliser, former les populations aux bonnes pratiques d'adaptation des changements climatiques. Selon Docteur Alioune Fall le Directeur Général de l'ISRA( Institut Sénégalais de Recherches Agricoles) «  dans le cadre du PSE, nous avons 2 projets qui sont des projets très importants orientés vers la thématique de cet atelier. C'est le PSE vert qui va travailler un peu sur les questions des ressources naturelles et la transition écologique qui devrait permettre de développer des stratégies de résilience des exploitations familiales pour une meilleure production agricole. L'étude de Kolda que nous avons lancé aujourd’hui avec la FAO s'inscrit en droite ligne de ces préoccupations de type de vulnérabilité »

Plusieurs menaces sont liées à ces changements climatiques. Ce qui dire au Dr Fall que «  ce sont des manifestations qu'il faut savoir interpréter et s'adapter sinon on risque de disparaître. IL ya la baisse de la pluviométrie, il ya le raccourcissement de l'élevage, la salinisation des rizières, il ya la déforestation. Tous ces phénomènes, si on les regroupe et on ne développe pas des stratégies d'adaptation pour les populations qui vivent ici, à un moment donné, il y aura une disparition des espèces ».

MOUSTAPHA GUIRASSY " width="200" align="left"> Atelier de lancement des études de vulnérabilité dans la zone de Kolda pour l'appui au processus d'élaboration du Plan National d'Adaptation du Secteur de l'Agriculture. Cet atelier vise à sensibiliser, former les populations aux bonnes pratiques d'adaptation des changements climatiques. Selon Docteur Alioune Fall le Directeur Général de l'ISRA( Institut ...

Poursuivre...

Un CRD spécial sur la campagne de commercialisation de l'anacarde vient de se tenir à Kolda. Pour le Directeur Général de l'Agence de Régulation des Marchés(ARM) Amadou Abdoul Sy « ce qu'on peut retenir c'est l'accompagnement et la décision que le ministère du commerce a prise avec l'ensemble de ses services d'accompagner la filière anacarde. C'est une filière nouvelle qui vient d'émerger » a annoncé Amadou Abdoul Sy.

Elles sont 300  femmes à avoir reçu des financements de la Mutuelle des femmes de Kolda. La cérémonie a été présidée par le Directeur Général de la POSTE en même temps maire de Kolda, Abdoulaye Bibi Baldé, qui opte ainsi pour l'émergence de la gent féminine dans la caitale du Fouladou..

Les vendeurs de chanvre indiens et les agresseurs de tout acabit squattent le foirail des gros ruminants malgré la vigilance des marchands de bétail. D’ailleurs ces derniers  n’ont de cesse arrêté de réclamer la présence permanente des forces de sécurité dans ce lieu.  Selon Moussa Thiambel Sow, délégué et membre du comité de gestion du foirail « cet endroit est hautement stratégique pour le ravitaillement de Dakar en viande. C’est un marché international où se rencontrent des commerçants de la sous- région. L’argent y circule à flot et c’est pourquoi, nous réclamons la présence des forces de police ou de gendarmerie. Nous souhaitons également disposer de la présence  d’une institution bancaire pour la sécurisation des avoirs de nos membres. Dans ce lieu, il n’y a pas de sécurité contrairement à ce qu’en pensent beaucoup de nos concitoyens. Il y a des niches qui abritent des bandits, des voyous  et autres vendeurs de chanvre indien. A chaque fois  nous voyons des gens circuler 24H/24, sans que personne ne sache ce sont venus faire.  L’état doit nous aider à sécuriser cet endroit » suggère le membre du comité de gestion du foirail.

Quant  au président du comité de gestion du foirail, lui soulève les impacts négatifs du Train Express Régional (TER) sur leurs activités. « Ce projet du chef de l’état a des impacts négatifs sur l’épanouissement de nos activités. Les animaux ne peuvent plus se déplacer à cause des rails. Nous sommes obligés de rester en cet endroit ce qui fait qu’avec les dépenses croissantes, les prix augmentent » explique-t-il.

Tallo BA

 

" width="200" align="left"> Les vendeurs de chanvre indiens et les agresseurs de tout acabit squattent le foirail des gros ruminants malgré la vigilance des marchands de bétail. D’ailleurs ces derniers  n’ont de cesse arrêté de réclamer la présence permanente des forces de sécurité dans ce ...

Poursuivre...